Qui est Colette ? Livres et textes de Colette

La vie de la dramaturge française Colette est explorée. Qui est Colette ? D’où est originaire Colette ? Quand et où est née Colette ? Colette est-elle vivante ? Voici la vie de Colette… Est-ce que Colette est vivante ? Quand et où Colette est-elle décédée ?

La personnalité littéraire, l’histoire de la vie et les œuvres de la dramaturge française Colette sont curieuses. Les amoureux des livres tentent de découvrir Colette grâce aux moteurs de recherche. Nous avons préparé pour vous la vie, les livres, les mots et les citations de Colette. Voici la vie, les oeuvres, les paroles et les citations de Colette…

Nom complet/réel : Sidonie Gabrielle Colette

Date de naissance: 28 janvier 1873

Lieu de naissance: Saint Sauveur en Puisaye, France

Date de décès: 3 août 1954

Lieu du décès: Paris, France

Qui est Colette ?

Née dans la commune bourguignonne de Saint-Sauveur-en Puisaye, Gabrielle Sidonie Colette est née d’un père blessé alors qu’il était capitaine dans l’armée et a donc été affectée dans une petite fonction publique. Elle a passé son enfance et sa jeunesse à la campagne. À l’âge de 20 ans, elle épouse l’écrivain et critique Henri Gauthier-Villars, de 15 ans son aîné. Colette, qui a un temps écrit des articles pour divers magazines en tant que rédactrice indépendante, est devenue membre de l’Académie belge et de l’Académie Goncourt.

En 1906, Gabrielle Sidonie était la veuve de Colette. Il entre dans les écoles de musique parisiennes et au Moulin Rouge. Sous la tutelle de son premier mari, l’écrivain raté Henri Gauthier-Villars, elle se lance dans l’écriture des romans autobiographiques et populaires « Claudine ». Au début du XXe siècle, il publie les livres « Claudine est à l’école », « Claudine est à Paris », « Claudine est mariée », « Claudine va ». Dans ces livres, elle raconte l’enfance, la jeunesse et le mariage d’une femme intelligente essayant de connaître la vie. Ses luttes pour sa liberté, co-protagoniste de Claudine dans ses quatre livres, aboutissent à une fin érotique sans nouvelle confrontation avec la société bourgeoise. Gabrielle Sidonie Colette, qui dévoile essentiellement sa propre vie avec ses textes, raconte dans ses deux romans “La Maison de Claudine” et “Sido” son enfance, les particularités de sa ville natale et de sa mère.

L’auteur, qui interroge souvent dans ses œuvres l’univers des spectacles de variétés parisiens, ne parvient pas à acquérir une profondeur sociocritique bien qu’il parle le plus clairement possible de cet environnement. Les romans sur la vie de la chanteuse de revue “Mitsou”, qui trouve sa propre personnalité à travers l’amour pour un jeune lieutenant, et le filou “Cheri”, qui se lie d’amitié avec une amie de sa mère qui est une riche prostituée, éclairent Dark sur les évaluations superficielles de l’auteur sur les événements.

Dans ses romans “Green Maidens” et “Cats”, l’auteur, qui traite des relations amoureuses, en particulier du monde affectif féminin dans l’environnement et les conditions de vie, est décédé à Paris en 1954.

Colette Livres – Œuvres

  • bébé
  • Chat
  • femme errante
  • caniko
  • La maison de Claudine
  • Exil émotionnel
  • gigi
  • La fin de Caniko
  • Ces joies…
  • Télécommande

Colette Citations – Paroles

  • Mais parce que tu es née si longtemps avant moi, parce que je t’aimais plus que toutes les autres femmes, nous avons été bien punies : te voilà épuisée, mais tu t’es consolé, ce qui est aussi honteux, alors que je… (La fin de Caniko)
  • « Brague dit à Hana : – Parce que tu aimes la solitude, tu vis comme ça seule, n’est-ce pas ? Bien sûr que oui, même – en bref – je veux vivre seul. Mais le truc c’est que… certains jours la solitude est un sentiment aigu qui rend une femme de mon âge liberté enivrante, devient un vin, certains jours un tonique amer, certains jours un poison qui vous fait vous cogner la tête contre le mur envie de frapper. ” (femme errante)
  • « Vous n’êtes pas satisfait ? Comment l’aimerais-tu? Revenir cacher ma tristesse ? Est-ce qu’il s’affaiblit ? Dois-je arrêter de me teindre les cheveux ? (bébé)
  • Partout où la moralité l’a trouvée, elle a fait une maison. (La fin de Caniko)
  • j’aime ma journée Je n’ai pas honte de ce que j’avais hier, je ne pleure plus ce que je n’ai pas. (La fin de Caniko)
  • …Vous comprendrez plus tard, jusqu’à ce que les gens graves oublient qu’ils vieillissent à tout moment… (La maison de Claudine)
  • Curieusement, ces gens ne se lassent pas de faire la même chose toute leur vie ! (bébé)
  • Le regard d’Edmée sur Caniko était le regard soulagé de l’amant jaloux et capricieux qui convoite la fille qui n’aidera personne. (La fin de Caniko)
  • Je n’ai pas simplement acheté un chaton de l’émission, j’ai ramené à la maison la noblesse du chat, sa générosité sans bornes, ses manières, son hostilité envers les personnes respectées. (bébé)
  • …Des livres, des livres, des livres… Non pas que j’aie beaucoup lu, mais j’ai lu les mêmes livres encore et encore. Mais j’avais besoin de tous. Leur présence, leur odeur, les lettres de leurs noms, la rugosité de leur peau… Le plus fermé d’entre eux n’était-il pas le plus précieux pour moi ??? (La maison de Claudine)
  • « -Après toi, je serai une personne au hasard, ou plusieurs femmes. Mais je n’aimerais jamais un autre chat.” (bébé)
  • Les femmes sont immergées dans un plaisir plus grand que la luxure apparente, dans l’intimité masculine, dans le contact d’un homme, dans sa chaleur avec son parfum revigorant ; Elle s’abandonne de la tête aux pieds dans la confiance d’être la proie d’un homme revenu sans être démembré, obéissant à un rythme aussi privé que de dormir dans ses bras…(La fin de Caniko)
  • « Cicim était fort maintenant, fier d’avoir dix-neuf ans ; gai à table, impatient au lit ; elle gardait son secret comme une pute polie. “(bébé)
  • Il parlait vite, comme un enfant haletant qui court, s’arrêtant après chaque mot. (gigi)
  • … Je jure solennellement que ce que je lis dans tes yeux n’est pas de la peur. A ce moment précis, il a fait un choix, a choisi la paix, l’amitié, le consentement sincère, s’est couché… (La maison de Claudine)
  • J’aimerais savoir si j’ai oublié. Mais oubliez quoi. (La fin de Caniko)
  • « La solitude, oui. J’en avais peur comme j’avais peur d’une drogue qui pourrait tuer une personne. Puis j’ai réalisé que… je vis seul de toute façon. (femme errante)
  • Il y a un temps pour être jeune et un temps pour ne pas être si jeune. Et il est temps d’être heureux… Tu penses que j’avais besoin de toi pour voir ça ? (La fin de Caniko)
  • Comment pouvez-vous prendre un tel plaisir à être méchant ? (bébé)
  • …Elle se tait et… Écrivons le mot qui me fait peur : elle pense. nouveau problème ? 1 catastrophe à laquelle je n’aurais jamais pensé ??? (La maison de Claudine)

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