Être sous un dôme de ciel, parfois ombragé par des nuages et parfois éclairé par le soleil ; geler de temps en temps et mettre du coton, et de temps en temps s’abriter dans la chaleur du soleil d’hiver, qui ressemble à l’étreinte d’une mère. Ce sont les marques immuables d’être au milieu de l’hiver. Oui! .. Vous avez bien lu, j’ai dit “la chaleur de la mère” parce que dans des moments comme celui-ci, pour une raison quelconque, je me souviens toujours de ma mère. Parfois, nous nous promenions avec lui dans les Tombeaux des Rois, où Paphos est aujourd’hui transformé en musée et entouré de fils de fer ; que pendant qu’il cueillait des hibiscus, j’essayais d’enlever les bulbes d’oreilles de lièvre (cyclamen) qui sortaient des rochers ; les jours où l’on s’abritait sur les rochers où se trouvent les tombes et bien d’autres…
Est-ce que ce sont juste des souvenirs comme ceux-ci qui me le rappellent ?.. Est-ce que nous comptons nos expériences avec les mères et les sacrifices sans fin qu’elles font pour nous faire plaisir ? pour entrer dans la vie avec un corps et un caractère sains, qui ne ménageront aucun sacrifice pour l’obtenir , et qui ne craindra pas leur amour et leur compassion, il n’y a pas assez de pages pour en parler.
Pendant que je suis encore prêt; surtout quand c’est l’hiver et qu’il pleut dehors et que ça me rappelle les vieux hivers, laissez-moi essayer d’inscrire notre aventure dans les tombes des rois sur au moins une page en me souvenant de ma mère que j’ai perdue il y a vingt-cinq ans et donc je n’ai ‘t oublié même un jour, ne serait-ce qu’un jour.
******
Quand la pluie s’arrêtait, nous sortions de la grotte dans laquelle nous nous étions abrités et nous nous dirigions vers notre maison. Nous savions que s’il pleuvait à nouveau, ils auraient des maisons familières le long du chemin pour s’abriter. Qu’elles soient turques ou grecques, toutes les portes étaient ouvertes à tous les invités ouverts. À tel point que notre fardeau sur le chemin du retour est devenu encore plus lourd avec les cadeaux qu’ils ont donnés de leurs jardins. Nous traitions ceux qui venaient chez nous de la même manière. Malheureusement, il n’y a plus trace de ces habitudes aujourd’hui. N’est-ce pas pour cela que nous serrons nos souvenirs de toutes nos mains et que ces jours nous manquent ?
Quand ma mère rentrait à la maison, elle commençait à faire les choses qu’elle avait reportées à cause de mon amour des fleurs, sans même prendre le temps de se reposer. Nous étions une famille nombreuse et il avait des responsabilités envers chacun des membres de la maison. C’est pourquoi il n’a terminé que tard dans la nuit. Son cœur était rempli d’amour et de compassion non seulement pour sa famille mais aussi pour ses voisins et ses connaissances. Je n’oublierai jamais que… Nous avions un voisin dont la mère était alitée. Je le condamne, bien que je ne me souvienne pas pourquoi. Une femme ne traite pas bien sa mère, ne prend pas soin d’elle ; Il ne laissait même pas les autres le regarder. La vieille femme avait l’air d’avoir été laissée dans une petite pièce pour mourir. Les gémissements de la femme pouvaient être entendus de notre maison. Ma mère ne pouvait pas le supporter, chaque jour elle se faufilait dans les yeux de sa fille par une fenêtre de sa chambre donnant sur notre jardin, nourrissait la femme et nettoyait ses couches. Ma mère avait de nombreux avantages similaires.
Ma mère cuisinait aussi de la bonne nourriture. J’ai appris cela des années plus tard par mes amis d’enfance. On ne peut pas finir en évoquant les galettes de courgettes rouges, le bumbar farci, le riz pané et surtout, le katmer à la Paphos, incontournable de la saison hivernale. Ce que j’aimais le plus, c’était la halva grumeleuse, qu’il préparait en mélangeant la farine qui sort de la mouture du blé avec un moulin à pierre avec de la mélasse. A tel point qu’il ne quitte pas la tête du moulin; J’attendais avec impatience la farine qui en sortait.
En parlant du bon vieux temps avec un ami que j’ai rencontré l’autre jour, j’ai appris un truc dont il m’a parlé. Il s’avère que j’avais l’habitude de donner les repas de ma mère à mes amis que je réunissais à la maison. Un jour, alors qu’il faisait des pâtisseries aux courgettes rouges, je les ai ramassées à nouveau, et quand les pâtisseries étaient presque épuisées, j’ai repris mes esprits et j’ai dit: “Laisse ma mère les manger aussi.” Bien que nous ayons ri à haute voix à ce souvenir, j’avais le cœur brisé, en colère contre l’insouciance et la méchanceté de mon enfance…
Aujourd’hui, pour une raison quelconque, mes doigts écrivaient toujours ma mère sur les touches. Peut-être vous êtes-vous ennuyé en lisant parce que c’est l’histoire de ma mère et moi. Souvenez-vous ensuite de vos expériences avec vos propres mères. S’ils sont vivants, chérissez vos mères, traitez-les très bien et essayez de créer de bons souvenirs. Si vous avez perdu votre mère, gardez-la en vie en la commémorant avec les souvenirs que vous avez recueillis.
J’ai écrit beaucoup de poèmes à ma mère après sa mort. Les lignes suivantes en font partie.
“Tu es emmêlé dans mes souvenirs sacrés maintenant/ Un sanctuaire à mes yeux tout comme toi/ Élégant, gentil, tu as ta photo dessus./ Nous avons eu d’innombrables bons souvenirs/ Un jour nous planterons des fleurs, de la boue dans nos mains. / Nous faisons une longue promenade dans les jardins sous un oiseau d’automne ensoleillé. / Enfin, nous récoltons les figues de leurs branches hors saison. / Les grenades sont sur les branches, nous ne les aimons pas / Et il y avait des oreilles de lapin. toujours sur Fleur.